For all the dogs - Pour tous les chiens

VIP-Blog de manon12bis

For all the dogs - Pour tous les chiens
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

12 articles publiés
dans cette catégorie
23 commentaires postés
1 visiteur aujourd'hui
Créé le : 03/12/2008 16:37
Modifié : 09/01/2011 22:21

Fille (52 ans)
Origine : France
Contact
Favori
Faire connaître ce blog
Newsletter de ce blog

 Juillet  2025 
Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
30010203040506
07080910111213
14151617181920
21222324252627
282930010203

Mes blogs favoris

manon12


| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |

[ Accueil ] [ Papiers du chien ] [ Le Chien ] [ Les Concours ] [ L'alimentation ] [ Maladies-Prévention ] [ Rapports homme chien ] [ Mon chien en vacances ] [ Artistes animaliers ] [ Divers-Les 4 saisons ]



Maladies dues à un gène récessif (les plus fréquentes)

Etant liées à un gène récessif, ces maladies ne se manifestent que si le gène est présent en deux exemplaires. Les individus hétérozygotes n'expriment donc pas la maladie mais peuvent la transmettre. Ils sont appelés "porteurs sains".

A titre d'exemple, étudions la transmission de l'anomalie oculaire du COLLEY. Appelons "m" l'allèle récessif responsable de la maladie et "S", l'allèle dominant chez l'individu sain.

Un chien m/m est donc malade, m/S porteur sain et S/S phénotypiquement et génétiquement sain. Les résultats prévisibles des accouplements sont résumés dans ce tableau.

Suivant la fréquence d'apparition de la maladie dans la population, il est donc facile de suspecter la participation d'un gène récessif.

risque de tomber sur un porteur sain lors du choix d'un reproducteur dépend naturellement de la fréquence de la maladie comme le montre le tableau suivant.

Ainsi, lorsque l'on décèle 1% de malades au sein d'une population, un individu sur 5 est porteur de la tare. A 10% de malades, près d'un individu sain sur deux est porteur !

Les mesures de prévention passent par la connaissance approfondie de la généalogie du candidat à la reproduction. L'idéal serait bien sûr de ne compter aucun descendant taré après accouplement avec un reproducteur malade (m/m), ce qui limiterait les risques de "pollution" génétique d'un élevage à l'éventualité d'une mutation.

Les mesures d'élimination seraient fastidieuses et très lentes.

En effet, lors de tare récessive, la population de l'élevage serait répartie comme suit

(avec p+q1):

p2 (tarés) + 2 pq (porteurs) + q2 (sains)

Si l'on observe seulement 1% de sujets tarés, c'est que p = 0,1 donc q = 0,9 et 2 pq = 0,18 = 18% de tarés potentiels. Par consanguinité, on peut espérer éliminer les repérés soit seulement 1% par génération ! Pour éliminer une maladie génétique récessive, il est donc souhaitable d'abandonner la pratique de la consanguinité. Même si elle permet son dépistage, on ne peut être à la fois incendiaire et pompier!

 

 






Les tares d’origine génétique, prévention et éradication

16/08/2009 14:10

Les tares d’origine génétique, prévention et éradication


A  l'heure actuelle, on a dénombré 150 maladies affectant l'espèce canine qui admettent un déterminisme génétique et qui sont apparues par mutation d'un ou de plusieurs gènes . Parmi celles-ci, environ 90 sont dues à un gène récessif, 15 à un gène dominant et 45 à plusieurs gènes agissant ensemble.
 

Il y a environ 250 maladies génétiques chez le chien ! Ces maladies sont dues à :

Maladies dues à un gène récessif (les plus fréquentes)
 
Maladies dues à plusieurs gènes

Maladies dues à un gène dominant

 








Transmission des caractères

Exemple de transmission aléatoire de deux caractères au cours de la genèse des spermatozoïdes (méiose)

Prévision statistique sur une portée issue d’un accouplement entre deux parents double hétérozigotes pour deux caractères

Lors de la formation des cellules sexuelles (gamétogénèse), un processus complexe appelé "méïose" dissocie les 39 paires de chromosomes, les mélange et redistribue comme un jeu de cartes une combinaison de 39 chromosomes à chacun des gamètes. La diversité génétique des gamètes assure ainsi la variabilité génétique au sein de chaque race canine. L'union d'un spermatozoïde et d'un ovule (fécondation) aboutit à la formation de l'oeuf (zygote) dans lequel les chromosomes hérités des deux parents se réunissent à nouveau par paires homologues.

On voit donc qu'une sélection involontaire s'opère déjà à deux niveaux :- lors de la méïose où une information génétique différente est distribuée à chaque gamète,- lors de la fécondation puisqu'on ne peut prédire quels spermatozoïdes seront fécondants ni quels ovules seront fécondés.

Ajoutons à cela les possibilités de mutation des gènes (chaque individu a, au moment de sa conception, environ une chance sur 10 pour qu'un de ses gènes ait muté) et nous comprenons alors pourquoi il est possible d'orienter sa sélection en élevage mais certainement pas de la maîtriser complètement ! ...

Naturellement, chaque chromosome ne porte pas qu'un seul gène. Chaque locus correspond à une information génétique qui peut aussi bien coder pour la longueur du poil que pour l'intensité de sa couleur ou pour une aptitude enzymatique ou encore moduler l'expression d'un autre gène (épistasie).

Certains caractères sont sous la dépendance de plusieurs gènes et la dominance d'un allèle sur son homologue peut être incomplète.

Enfin, notons que nous sommes très loin de maîtriser l'ensemble des combinaisons génétiques, ce qui inspire l'humilité et la prudence dans ce domaine soumis aux lois des probabilités.

Cependant, l'éleveur peut déjà s'exercer pour deux caractères (longueur et couleur du poil), à prévoir le phénotype des chiens ayant hérité des combinaisons suivantes, sachant que pour le gène "longueur du poil", l'allèle L (poils courts) domine l'allèle "l" (poils longs)

- BL / BL : poils courts, robe noire, individu double homozygote ;- Bl / bL : double hétérozygote à poils courts et robe noire car "B" et "L" dominent "b" et "l" ;- bl / bl : double homozygote à poils longs et bruns. C'est la seule combinaison permettant aux deux gènes récessifs de s'exprimer car ils sont chacun en double exemplaire ;- bL / bl : Homozygote pour "b", hétérozygote pour la longueur du poil. Ce chien aura le poil court et brun ;- Bl / bl : Homozygote pour "l", hétérozygote pour la couleur. Individu à poil long et noir.

Ces 5 exemples (parmi les 16 combinaisons possibles) permettent déjà à l'éleveur de se familiariser avec le raisonnement génétique.

Ainsi, pour reprendre l'exemple précédent, si l'on ne s'intéresse qu'aux deux caractères étudiés, les "chances" de trouver parmi la population, un chien marron à poils longs sont estimées à 6,25% (1/16ème), 18,75% (3/16èmes) pour les poils longs et noirs ou courts et marron et 56,25% (9/16 èmes) pour les poils courts et noirs (voir tableau).

Connaissant le caractère dominant ou récessif d'une qualité ou d'une tare, l'éleveur peut ainsi orienter sa sélection pour mettre toutes les chances de son côté ...

L'apparence est-elle le reflet du programme ?

Nous avons vu qu'il existait des caractères dominants et des caractères récessifs. Pour reprendre l'exemple précédent concernant la couleur de la robe, le Noir (B) domine le marron (b). Lorsque l'on voit un chien marron, il est facile de deviner son génotype qui ne peut être que b/b puisque le caractère récessif marron ne peut s'exprimer qu'à l'état homozygote. Dans le cas des caractères récessifs, le phénotype est donc un bon reflet du génotype. En revanche, le phénotype "noir" peut correspondre soit au génotype B/b (hétérozygote), soit au génotype B/B (homozygote), les gènes ayant toujours au moins deux possibilités de s'exprimer.

- dans le premier cas, le chien est noir mais porteur d'un allèle marron qu'il pourra transmettre à sa descendance.

- dans le deuxième cas, le chien homozygote transmettra obligatoirement un de ses deux allèles B à sa descendance qui sera donc uniformément noire en première génération (appelée F1) quels que soient les allèles apportés par son partenaire.

L'aspect d'un chien ne reflète donc pas isolément son patrimoine génétique.

Le principe même de la confirmation qui donne au candidat l'autorisation officielle de reproduire en évaluant son génotype en fonction de son phénotype, est donc sujet à controverse.

Il est cependant possible de se faire une idée du génotype d'un étalon par son aptitude à marquer sa descendance pour le caractère considéré.

En effet, si un chien ne compte que des chiots noirs parmi sa descendance lorsqu'il est accouplé avec une chienne marron (donc obligatoirement b/b), il devient très probable qu'il soit homozygote B/B. Dans ce cas, tous les produits sont B/b, donc noirs.

S'il était B/b, il aurait 50% de chances de donner naissance à des chiots marrons à l'issue de ce même accouplement et il serait donc exceptionnel de ne pas en trouver parmi sa descendance. L'effectif de la portée permet donc également de renforcer l'estimation génétique d'un reproducteur.

Une portée d'un ou deux chiots reste évidemment peu significative.

On comprend dès lors que si l'éleveur désire fixer un caractère qu'il juge positif pour son élevage, il devra rechercher des reproducteurs qui présentent tous deux, non seulement ce caractère mais aussi un lien de parenté (consanguinité) de manière à augmenter les chances d'homozygotie, c'est-à-dire l'uniformité des ordres édictés par les gènes parentaux.

A titre d'exemple, si un éleveur désire fixer le caractère marron, il n'aura qu'à accoupler des reproducteurs marrons.

S'il considère la robe marron comme un défaut, il lui faudra alors sélectionner des reproducteurs noirs qui, en outre, ne comptent aucun chien marron parmi leur généalogie.

On devrait donc se réserver la possibilité d'annuler une confirmation au cas où un défaut héréditaire apparaîtrait dans la descendance d'un reproducteur ...

 






Comment se transmettent les caractères génétiques ?

16/08/2009 13:47

Comment se transmettent les caractères génétiques ?


 En génétique, un caractère représente l'expression visible ou quantifiable d'un ou de plusieurs gènes. La couleur de la robe, l'aptitude d'un chien d'arrêt à marquer ses proies, la hauteur au garrot, la dysplasie de la hanche représentent quatre exemples de "caractères" au sens large.
 

Support génétique des caractères :

Représentation schématique d’une cellule de chien (avant division) :

 Un gène représente une unité de programme située à un endroit précis ("locus") d'un chromosome. Si le gène était une note de musique, le chromosome serait son support matériel, c'est à dire la partition. (voir schéma) Toutes les cellules d'un chien contiennent dans leur noyau 39 paires de chromosomes, sauf les cellules qui n'ont pas de noyau (globules rouges par exemple chez le chien) et les cellules sexuelles (spermatozoïdes et ovules) qui ne possèdent les 39 chromosomes qu'en un seul exemplaire. L'ensemble des chromosomes portant les gènes constitue ainsi le patrimoine génétique ou génome de l'individu, c'est à dire le programme qui inspirera sa morphologie et son comportement.

Si les chromosomes sont représentés en double exemplaire, c'est parce qu'ils sont hérités pour moitié du père et pour moitié de la mère. Pour chaque locus, un gène a donc la possibilité de s'exprimer deux fois par la voix du père et par celle de la mère (on parle alors d'allèle).

Il arrive que ces deux voix soient identiques et donnent donc le même ordre : l'individu sera alors dit "homozygote" pour le caractère considéré. A titre d'exemple le gène "b" (pour "brown") codera pour une robe marron chez le chiot s'il est présent simultanément sur les deux chromosomes parentaux. Le chiot sera dit "homozygote b/b".

Inversement, si le chromosome hérité du père porte le gène "B" (pour Black) et celui de la mère le gène "b", le chiot est dit "hétérozygote" B/b et l'on constate que sa robe est aussi noire que celle de son père. C'est donc que le gène "B" (majuscule) est dominant par rapport au gène "b" (minuscule) qui est dit récessif.






Bases de la sélection en élevage canin

16/08/2009 13:39

Bases de la sélection en élevage canin


S'il paraît facile pour un producteur d'animaux de rente de sélectionner les géniteurs sur leurs aptitudes bouchères ou laitières, il est beaucoup plus complexe d'établir une sélection en élevage canin dans la mesure où les qualités recherchées concernent souvent autant la morphologie que le caractère des chiens.

CHOIX DES GENITEURS

Il est relativement rare de trouver à la vente des géniteurs adultes de qualité. La plupart des étalons ou des lices disponibles risquent fort en effet d'être des animaux de réforme présentant des vices cachés ou ne correspondant pas au standard recherché. Ainsi, il est naturel que la majorité des éleveurs gardent pour leur exploitation personnelle les chiots les plus prometteurs de leur élevage. Le choix d'un reproducteur se portera donc sur un chiot. Il représentera donc souvent un pari sur son avenir, sa conformité au standard de sa race et sa fertilité n'étant confirmées que bien plus tard.

Choix d'un étalon

Lors de la puberté, et avant toute saillie ou insémination avec un mâle dont on ne connaît rien de la descendance, il est prudent de commencer par contrôler la qualité de sa semence:

Vérification de la qualité de la semence : le spermogramme (examen détaillé du sperme) a une valeur prédictive sur le pouvoir fécondant de la semence. Il permet de prévoir un risque d'infertilité mâle (absence ou trop faible nombre de spermatozoïdes, excès de formes anormales, manque de mobilité etc.), de suivre le déroulement de la puberté et donc l'échéance de la mise à la reproduction, et de détecter les premiers signes de sénescence chez les étalons proches de la réforme.(voir schémas)

Deux ou trois spermogrammes consécutifs à 1 ou 2 jours d'intervalle sont nécessaires pour:

Apprécier la qualité de la semence : évaluer le renouvellement du stock de spermatozoïdes qui conditionne le rythme d'utilisation de l'étalon (voir histogramme),

Juger du potentiel d'un étalon :certaines races comme le Bull-MASTIFF semblent avoir des cycles saisonniers avec alternance de spermogrammes de bonne et de mauvaise qualité.Beaucoup de mâles présentent des premiers spermogrammes médiocres après une longue période d'abstinence, d'autres enfin ne libèrent pas la totalité de leur phase spermatique au premier prélèvement,

Lors d'un prélèvement, il est utile d'apprécier:- la couleur et la transparence des trois phases: l'observation à l'oeil nu de la phase spermatique (qui doit avoir un aspect laiteux) permet déjà de se faire une idée sur sa concentration en spermatozoïdes,- le volume de l'éjaculât habituellement proportionnel à la taille de la race et donc à la longueur des voies génitales femelles,- le pH (acidité) de la semence pouvant témoigner d'une infection,- les mouvements d'ensemble des spermatozoïdes sur platine chauffante au faible grossissement du microscope : l'impression de "nuage" est un bon reflet de la vitalité générale de la semence,- la mobilité des spermatozoïdes à plus fort grossissement: nombre de gamètes immobiles ou, au contraire, traçants,- la proportion de formes anormales (voir schémas) qui, pour rester physiologique, ne doit pas dépasser 30%,- le pourcentage de spermatozoïdes vivants qui s'apprécie à l'aide d'un colorant vital (éosine-nigrosine) qui pénètre électivement dans les gamètes qui étaient déjà morts avant la coloration (voir photos),- le nombre total de spermatozoïdes est évalué à partir d'un comptage dans une cellule quadrillée (voir photo) et est généralement proportionnel au format de la race.

L'ensemble de ces résultats est alors consigné dans un tableau qui autorise à conclure sur le potentiel de fertilité d'un étalon. Si plusieurs spermogrammes consécutifs sont de mauvaise qualité, il est opportun de s'interroger sur les éventuels traitements médicaux (hormones, antifongiques, corticoïdes, radiothérapie) que l'étalon aurait pu subir récemment ou pendant sa croissance.

Contrôle généalogique : mieux qu'un spermogramme, la descendance récente d'un étalon reste la meilleure preuve de sa fertilité et permet également de juger de la qualité génétique de sa semence par son aptitude à marquer sa progéniture (ressemblance). Il est prudent de se renseigner également sur l'effectif des portées dont il a la paternité pour juger de sa prolificité qui semble être liée à la vitalité de la semence. La lecture de son pedigree permet enfin de dénombrer les champions qu'il compte au sein de son ascendance et d'en déduire, surtout s'il est consanguin, ses qualités génétiques probables.

Choix d'une lice : le choix d'une future reproductrice au sein d'une portée procède également d'un pari sur l'avenir. Il se fait essentiellement sur son ascendance. Bien que sa responsabilité génétique sur sa descendance soit identique à celle du mâle (50%), il lui faudra également assumer la lactation et l'éducation de ses chiots. Les critères de sélection de la lice devront donc tenir compte, en dehors de sa valeur génétique intrinsèque, de la facilité de ses mise-bas, de ses aptitudes "laitières", de ses qualités maternelles .

Pourquoi une sélection ?

Beaucoup d'éleveurs gardent leurs chiots les plus prometteurs pour l'amélioration qualitative de leur élevage et font appel à un étalon extérieur pour renouveler les "courants de sang" de leurs lignées.

S'il paraît facile pour un producteur d'animaux de rente de sélectionner les géniteurs sur leurs aptitudes bouchères ou laitières, il s'avère en revanche beaucoup plus complexe d'établir une sélection en élevage canin dans la mesure où les qualités recherchées concernent souvent autant la morphologie que le caractère des chiens.

Un producteur de chiens peut ainsi s'en remettre à la nature et se contenter de laisser ses lices se reproduire au hasard des rencontres. Même s'il arrive à celui-ci d'obtenir parfois un chien exceptionnel, il s'apercevra très vite que ses qualités marquent peu sa descendance et nous verrons la raison pour laquelle ces caractères issus d'accouplements aléatoires se révèlent peu transmissibles.

Cependant, bon nombre d'éleveurs trouvent les fondements de leur passion dans l'amélioration durable des qualités de leurs chiens qui fera la réputation de leur élevage. Pour ce faire, ils doivent conduire une véritable politique de sélection en commençant par se poser les questions suivantes :

Comment ça marche ? Autrement dit, comment se transmettent les caractères qui font les qualités et les défauts de chaque individu ?

L'apparence est-elle le reflet du programme génétique ? Le phénotype (ce que l'on peut voir ou mesurer extérieurement comme la robe par exemple) traduit-il fidèlement le génotype (la "partition" génétique) ?

Quels sont les avantages et les inconvénients de la consanguinité qui a si mauvaise réputation aux yeux du grand public ?

Enfin, comment prévenir l'apparition d'une maladie génétique ou, s'il est trop tard, comment s'en débarrasser ?








Le chien : squelette, anatomie, morphologie

 






Début | Page précédente | 1 2 3
[ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact manon12bis ]

© VIP Blog - Signaler un abus